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BONNE ANNEE 2024

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Pourquoi externaliser ?

Parallèlement, pour les facteurs explicatifs de l'externalisation, sont évoquées simultanément une vision à moyen terme du métier et une sensibilité opérationnelle aux coûts. Le recentrage sur l'entreprise et la réduction des coûts expliquent le recours à l'externalisation (Quélin et Duhamel, 2003). En effet, en 2006, 32,3 % des entreprises jugeaient l'externalisation très importante pour « améliorer le recentrage de l'entreprise sur ses métiers » (60 % pour les niveaux « très important » et « important » réunis) (voir figure 1). Ce point peut être comparé aux 52,3% d'entreprises qui considèrent l'externalisation importante pour « mobiliser les ressources internes pour d'autres usages ».

A ce titre, la moitié des entreprises perçoivent donc l'externalisation comme un vecteur de réorganisation des métiers et des activités. Cette dernière serait naturellement liée au périmètre des activités.

Toutefois, 65,7 % considèrent toujours l’externalisation comme importante pour « réduire et contrôler les coûts d’exploitation ». Et cette raison est aussi importante que la réaffectation des ressources en interne vers d’autres usages.

Il est intéressant de s’interroger sur les critères que les managers perçoivent comme déterminants du succès d’une opération d’externalisation. Il faut ensuite examiner à quelles conditions l'externalisation peut devenir un véritable partenariat stratégique. Ces points sont discutés ci-dessous.

L'externalisation repose sur un principe de délégation, fondé sur une relation contractuelle durable, en confiant la responsabilité économique au prestataire. Elle s’oppose ainsi à la sous-traitance. De ce fait, l’entreprise ayant externalisé se retrouve dans une situation tout à fait comparable à celle du maître d’ouvrage.

Les moyens et les objectifs ont été définis au préalable, mais l'exécution opérationnelle échappe au contrôle direct du client. Ce dernier doit alors se doter d'outils de gestion de la relation avec le prestataire : un suivi opérationnel et un tableau de bord.

Réunissant le client et le prestataire, un comité de suivi des contrats d'externalisation est généralement en charge de deux niveaux de responsabilité. Tout d'abord, le suivi opérationnel peut parfois prendre la forme d'un suivi hebdomadaire : par exemple pour la gestion des incidents dans les domaines des télécommunications, de l'approvisionnement en énergie ou de la logistique. D'autre part, davantage de suivi grâce auquel les accords de niveaux de service (SLA), les prix, les volumes et les services proposés sont réexaminés, semestriellement, afin d'ajuster au mieux le contrat aux attentes du client.

HILLANDER Group Sàrl
au Registre du Commerce du Canton de Vaud en Suisse
Classe : 550.1.238.700
IDE/UID : CHE-292-282-178

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